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NOS ENGAGEMENTS
Cow Gestion s’engage à
NOS ENGAGEMENTS
Cow Gestion s’engage à
  • Garantir le maintien de la ruralité de nos territoires grâce à une solution de financement alternative au secteur bancaire traditionnel
  • Assurer les meilleures pratiques d’élevage (Charte de Bien-Être Animal Cow Gestion)
  • Accompagner nos exploitations partenaires vers la mise en place de leviers d’actions qui contribuent à une transition agricole responsable (Charte Agro-écologique Cow Gestion)
  • Apporter à nos éleveurs notre expertise technico-économique :
    o Calcul de prix d’équilibre ;
    o Calcul de coût fourrager ;
    o Aide à l’établissement de la ration alimentaire ;
    o Importance de la pesée dans la performance économique : GMQ, sélection, surveillance sanitaire du troupeau.

Notre impact

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Notre équipe

Guillaume Delormel

Guillaume

FONDATEUR DE COW GESTION
Issu du monde agricole, Guillaume est ingénieur civil diplômé de l’Ecole Spéciale des Travaux Publics du Bâtiment et de l’Industrie.
Il a notamment travaillé 10 ans dans la construction avant de lancer Cow Gestion.
Marguerite Delormel-2

Marguerite

RESPONSABLE INVESTISSEURS & RÉSEAU
Diplômée de l’ESCP Business School, Marguerite a travaillé dans différentes entreprises dans l’agro-alimentaire en tant que commerciale et sur le développement de projets innovants.
LOGO LE VILLAGE BY CA NOIR

Charte Bien-Être Animal Cow Gestion

Notre objectif est de placer le bien-être animal au cœur des préoccupations des parties prenantes de notre activité. Nous souhaitons assurer de meilleures conditions de vies aux cheptels bovins en élevage. Nous favorisons donc des systèmes d’élevage plus respectueux des animaux, en s’engageant pour faire progresser les standards de leur bien-être.

Nous ne sélectionnons que des éleveurs partenaires qui adoptent de bonnes pratiques et les aidons à identifier des opportunités de progrès en leur partageant des recommandations. Nous veillons à la mise en place de dispositifs permettant aux animaux le bien-être physique, mental et la possibilité d’exprimer leurs comportements naturels propres à leur espèce. Nos critères

Nous avons développé notre propre cahier des charges en nous basant sur les cinq libertés qui régissent le bien-être animal :

  1. Ne pas souffrir de la faim ou de la soif.
  2. Ne pas souffrir d’inconfort.
  3. Ne pas souffrir de douleurs, de blessures ou de maladies.
  4. Pouvoir exprimer les comportements naturels propres à l’espèce.
  5. Ne pas éprouver de la peur ou de la détresse.

Ce sont des éléments de base mais fondamentaux visant à garantir et améliorer significativement la qualité de vie des bovins et la bonne conduite de l’élevage en exploitation. Traditionnellement, le bien-être animal est évalué selon les ressources fournies et la présomption que de bonnes ressources garantissent un bon niveau de bien-être. C’est donc important d’y fixer des indicateurs qui permettront d’évaluer de manière objective la condition animale. Nous nous engageons à évaluer les critères suivants concernant la protection des vaches en élevage :

Critère 1Fournir un environnement confortable avec :

  • Des bâtiments ouverts sur l’extérieur avec circulation d’air, des litières paillées et une lumière naturelle ;
  • Des logements en stabulations libres et avec un espace confortable et suffisant pour que tous les animaux puissent se coucher et se reposer simultanément (soit 6m2 par vache) ;
  • Encourager le logement précoce des veaux en groupe à partir de la 3ème semaine ;
  • Un accès à l’extérieur au pâturage (sol de qualité pour la motricité) avec 5 mois et demi de pâturage minimum par an avec maximum 2 gros bovins par ha ;
  • Un système d’évacuation des déjections adapté et un renouvellement des litières pour qu’elles soient saines.

Critère 2Une prévention et un diagnostic rapide et traitement, en cas de maladie :

  • Une fréquence minimale de visite du vétérinaire d’au moins 1x par an ;
  • L’entretien fréquent des sabots ;
  • Anesthésie obligatoire en cas d’écornage/ébourgeonnage avec analgésique anti-inflammatoire.

Critère 3 – Une bonne conduite d’élevage :

  • Des abris en cas d’intempéries ou de fortes chaleurs ;
  • Une alimentation équilibrée, pas trop concentrée avec un apport en fibre important (notamment pour les veaux : pas de concurrence alimentaire et un apport de colostrum les 6 premières heures de vie) ;
  • Tous les animaux doivent avoir accès à une quantité appropriée d’eau d’une qualité adéquate ou doivent pouvoir satisfaire leurs besoins en liquide par tout autre moyen ;
  • Veille du comportement du troupeau (pouvoir s’approcher à moins de 50 cm) et de la motricité des vaches : fluide, rythmée et répartie ;
  • Vaches réformées :
  • En atelier laitier : Un objectif de moins de 15% par an de renouvellement du troupeau sur l’exploitation et un délai maximum entre l’enlèvement et l’abattage de 24 heures.
  • En atelier allaitant : Un âge minimum de 28 mois à l’abattage pour les femelles et un délai maximum entre l’enlèvement et l’abattage de 24 heures.
  • Lors du transport des vaches, il est nécessaire de respecter les surfaces en mètre carré suivantes : pour les gros bovins (de 1,3 à 1,6), pour les veaux d’élevage (0,3 à 0,4) et les veaux lourds/broutards (0,75 à 0,95).

Sources :

Directive de la Convention Européenne 98/58/CE du 20 juillet 1998 concernant la protection des animaux dans les élevages)

Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation

Charte d’Agroécologie Cow Gestion

Comme d’autres secteurs, l’activité agricole a indiscutablement une responsabilité dans le changement climatique. Le modèle conventionnel qui prédomine atteint donc ses limites avec le plafonnement des rendements des agriculteurs, la dégradation des milieux (eau, air, etc.), l’épuisement des ressources nécessaires à la production agricole (phosphore, énergie, sols, biodiversité, etc.) et d’importants impacts climatiques.

D’autre part la crise du Covid-19 interroge également les impacts sur l’environnement de notre système alimentaire à l’échelle mondiale et pose la question de notre autonomie alimentaire. Ces critères s’inscrivant dans la lignée des récentes annonces du gouvernement visant à renforcer la souveraineté alimentaire en France, à donner accès à tous à une alimentation saine, et à adapter l’agriculture au changement climatique.

Face à ces constats, l’agroécologie constitue l’une des solutions pour assurer la transition de l’agriculture vers la durabilité. L’agroécologie, c’est l’optimisation de l’utilisation des ressources et services apportés par la nature pour réduire au maximum l’utilisation d’intrants de synthèse : engrais, pesticides ou antibiotiques. Ces intrants sont remplacés par des facteurs « naturels » et permettent d’accroître ainsi la résilience et l’autonomie des exploitations agricoles.

Elle se traduit en partie par une démarche de certification (labels officiels ou marques privées) qui permettent de définir des référentiels de pratiques d’agriculture favorables. Nous avons donc à cœur de privilégier les exploitations qui répondent à ces cahiers des charges publics ou privés qui imposent une exigence environnementale : l’agriculture biologique (AB), la Haute Valeur Environnementale (HVE), les mesures agroenvironnementales et climatiques systèmes (MAEC systèmes), les fermes DEPHY, le Label Bas Carbone/AgriCO2 et le Label Rouge.

https://agriculture.gouv.fr/le-communique-de-presse-sur-le-volet-agricole-du-plan-de-relance